yakou
عدد المساهمات : 14 تاريخ التسجيل : 12/02/2013
| موضوع: communication الأربعاء مارس 13, 2013 5:15 pm | |
| Établir une bonne communication avec mon enfant La clé d’une communication efficace entre votre enfant et vous, c’est devous écouter l’un et l’autre. Cela peut paraître simple à première vue, mais en fait, il faut beaucoup d’énergie pour prêter attention à ce que quelqu’un est en train d’essayer de dire.Voici quelques conseils :· Trouvez du temps pour vous parler en tête à tête : n’essayez pas de communiquer au milieu du brouhaha familial. Choisissez un moment et un lieu où vous pourrez bavarder ou discuter sans interruption.· N’interrompez pas votre enfant pendant qu’il parle. Mieux vous l’écouterez, plus vous réagirez efficacement.· Vérifiez avec lui que vous comprenez ce qu’il essaie d’exprimer. Demandez-lui, par exemple : « Je pense que tu m’as dit ça et ça. C’est bien ce que tu voulais dire? » ou « Je ne sais plus où j’en suis, parce que tu affirmes que tu es content, mais tu as l’air triste! »· Gardez à l’esprit que, même si vous faites tout cela, votre enfant ne voudra pas nécessairement beaucoup parler. Faire pression sur lui pour l’amener à s’ouvrir n’aboutira généralement qu’à le faire rentrer encore plus dans sa coquille. Il est plus utile que vous abordiez avec lui des sujets qui, selon vous, l’intéresseront.· Faites quelque chose d’agréable ensemble et prenez plaisir à être proches l’un de l’autre; cela créera un sentiment agréable, qui vous détendra et qui favorisera spontanément une ouverture. De nombreux parents constatent que le simple fait de se retrouver en voiture seul avec leur enfant ouvre magiquement la porte de la communication.La clé pour déverrouiller la situation, c’est parfois d’attendre que le petit prenne lLa communication parents-adolescentsSource: Papalia, Diane E. ; Olds, Sally W. - Le développement de la personne. - Laval : Éditions Études Vivantes, 1989.Une communication positive entre les membres d'une famille, où l'on permet à l'autre de s'exprimer sur ses idées, ses goûts, ses émotions dans le respect, est essentielle pour une relation familiale satisfaisante. À travers les différentes étapes de la vie, chacun peut être confronté dans ses valeurs. Alors que survient des lignes directrices opposées, seule une communication saine permet de surmonter les épreuves et les conflits qu'ils peuvent générer. L'adolescence est une étape qui peut parfois être difficile autant pour les parents que pour les adolescents. Voici des lignes directrices qui peuvent vous aider à améliorer la communication.Au parent:
- Accordez toute
votre attention à votre enfant qui veut vous parler. Évitez alors de lire, de regarder la télé ou de vous occuper à d'autres tâches.
- Écoutez
calmement et appliquez-vous à entendre et à comprendre le point de vue de votre enfant.
- Adressez-vous à
votre enfant aussi courtoisement et agréablement que vous le feriez s'il s'agissait d'un étranger. Le ton de votre voix influencera le ton de la conversation.
- Comprenez ce que
ressent votre enfant, même si vous n'approuvez pas toujours son comportement. Essayez de ne pas porter de jugement.
- Soyez prêt à
aborder n'importe quel sujet. Soyez un parent à qui il est possible de poser des questions.
- Évitez de
déprécier, d'humilier et de ridiculiser votre enfant qui pose des questions ou qui affirme des choses qui vous semblent naïves ou stupides.
- Encouragez votre
enfant à mettre ses idées à l'essai lors d'une conversation, en évitant de juger celles-ci. Écoutez ses opinions et exprimez ensuite les vôtres le plus simplement et le plus honnêtement possible. L'amour et le respect mutuel peuvent coexister avec des points de vue divergents.
- Aidez votre
enfant à bâtir sa confiance en soi en l'encourageant à participer à des activités de son choix (et non du vôtre).
- Efforcez-vous de
souligner souvent et d'une façon appropriée les «bons coups» de votre enfant. Nous prenons souvent les bonnes choses pour acquis et mettons l'accent sur les mauvaises; et pourtant, chaque personne a besoin d'être appréciée.
- Encouragez votre
enfant à prendre part aux décisions de la famille et à la résolution des difficultés familiales.
- Comprenez que
votre enfant a besoin de contester vos opinions et vos manières d'agir pour effectuer une séparation qui est essentielle à l'affirmation de sa propre identité d'adulte.
À l'adolescent:
- Évite de
regarder tes parents comme des ennemis. Il est probable qu'ils t'aiment et veulent ton plus grand bien, même si tu n'es pas nécessairement d'accord avec leur façon de te le manifester.
- Essaie de
comprendre que tes parents sont des êtres humains qui ont leurs propres insécurités, leurs propres besoins et sentiments. Écoute tes parents avec un esprit ouvert et essaie de voir les situations à partir de leur point de vue.
- Partage ce que
tu ressens avec tes parents de façon à ce qu'ils puissent mieux te comprendre.
- Assume tes
responsabilités à la maison et à l'école; ils seront ainsi plus enclins à t'accorder l'indépendance que tu veux et dont tu as besoin.
- Accompagne tes
critiques à l'égard de la famille, de l'école et du gouvernement de suggestions pratiques en vue d'améliorer les choses.
- Sois aussi
courtois et prévenant envers tes parents que tu le serais envers les parents de tes amis.
· Il est normal que les parents veulent le bonheur de leurs enfants, même ils ne savent peut être pas exactement ce que contient ce petit mot. Pour beaucoup de parents le bonheur des enfants passe avant tout par de bons résultats scolaires dans le but de pouvoir décrocher une place assez importante dans la vie active, et aussi par un bon comportement que les enfants se doivent d’exercer. Enfants qui, fautes d’explications de la part de leur parents, se posent fréquemment la question pourquoi on doit se comporter comme ça et non pas autrement ?
La réponse est très simple : dans la société arabe il existe un certain manque de communication dans la relation entre parents et adolescents. Ceci est en grande partie du à l’existence de sujets tabous comme la sexualité que les parents ont peur d’aborder par crainte du pire, ou tout simplement parce qu’ils n'ont pas eux-mêmes communiqué avec leurs parents et ne jugent donc pas forcément nécessaire de le faire avec leurs enfants.
Les parents se basent évidemment sur leurs propres connaissances pour bien orienter leurs filles et fils, mais bien souvent ils oublient qu’en réalité il faut pénétrer dans l’âme de l’individu pour savoir l’orienter et se comporter de la manière adéquate avec. Avoir un jugement critique sur soi et son entourage permet de découvrir la réalité des choses telle qu’elle est.
Pour les enfants arabes, leurs parents sont souvent la couronne qui les honore et la lumière qui éclaire leur sentier. Ils gardent toujours dans leurs esprits une place pour ces derniers, et souhaitent que la grâce divine leur soit consentie. Toutefois, ces mêmes enfants souhaiteraient aussi que leurs parents leur parlent, les comprennent et les mettent à l’aise afin de leur permettre de mieux s’en sortir. Car le partage et la compréhension sont les clefs de la réussite. · · 1. Introduction· Cette recension des principales recherches sur la télévision et la famille se veut un point de référence pour les instances décisionnelles. Nous espérons qu'elle permettra de mieux situer le dossier de la famille et de la télévision. Nous nous sommes référés le plus fréquemment possible à des études québécoises et canadiennes sur ce sujet. Celles-ci sont cependant plutôt rares. Notre rapport mentionne plusieurs recherches étrangères, ce qui permet une certaine diversité et enrichit le texte de perspectives nouvelles. Les études citées sont, pour la plupart, récentes. Elles ne sont antérieures à 1982 que si elles sont particulièrement pertinentes à cette étude.· 1.1. La famille au Québec· La famille québécoise a bien changé depuis le début du siècle. Le taux de naissances chute continuellement depuis cette époque, bien qu'il ait connu, entre les années 40 et 60, une forte augmentation. Pendant les années 60 et le début des années 70, l'indice de fécondité a diminué de façon particulièrement prononcée. Depuis 1973, pourtant, cette baisse semble moins accélérée. Le taux de naissances aurait même tendance à augmenter depuis les trois dernières années. Il reste qu'en 1988, l'indice synthétique de fécondité (le nombre moyen d'enfants par femme en âge de procréer) se chiffrait à un peu plus de 1,4 enfants, donc en dessous du seuil de renouvellement des générations (2,1 enfants par femme, en moyenne) (Secrétariat à la famille, 1989).· Le nombre de divorces, de remariages et de familles monoparentales augmente alors que le taux de mariages diminue. Ces changements, et bien d'autres encore, rendent les structures familiales de plus en plus complexes et variées (Conseil des affaires sociales et de la famille, 1982 ; Secrétariat à la famille, 1989).· Plusieurs facteurs politiques, économiques et sociaux entraînent une redéfinition des rôles de l'homme et de la femme au sein de la famille et du milieu de travail. Les femmes prennent une place de plus en plus importante sur le marché du travail : 65 % des femmes mariées âgées entre 25 et 34 ans occupent un emploi au Canada (Mirabelli, 1989). Cela devrait entraîner une meilleure répartition des tâches familiales. On constate cependant que c'est souvent encore aux femmes que ces travaux sont dévolus. Les parents travaillent donc tous les deux à l'extérieur, dans certaines familles. Cela leur permet de disposer d'une prospérité nouvelle, entraînant ainsi une plus grande consommation de loisirs.· Les recherches contemporaines (Bouchard, 1985a) sur la famille au Québec se penchent, entre autres, sur la violence et sur les dysfonctionnements familiaux. Elles ont montré que ces problèmes résultent de facteurs personnels, sociaux, institutionnels, politiques et économiques. On connaît encore mal la façon dont ces facteurs interagissent mais on a néanmoins identifié les composantes qui prédisent un tel genre de dynamique familiale : l'isolement, la pauvreté, le stress, etc. Plusieurs questions doivent encore être abordées. La recherche québécoise fait très peu état du soutien du réseau social lors des crises traversées par les familles (deuils, divorces, maladies graves, pertes d'emploi, etc.). Elle a encore très peu étudié les minorités ethniques et immigrantes. Pour que les services d'aide puissent les appuyer efficacement, il faut tâcher de mieux comprendre les familles de ces minorités. On connaît également peu les nouvelles structures familiales engendrées par la rapide croissance du taux de divorces. Il importe d'étudier les conséquences de la garde partagée pour les parents et les enfants ainsi que les stratégies d'adaptation des familles monoparentales et reconstituées. 1.2. La recherche sur la famille et la télévision· Les interactions de la famille autour de la télévision ont également fait l'objet de peu d'études au Québec. Il importe pourtant d'examiner ce phénomène si l'on veut mieux comprendre la famille québécoise contemporaine, puisque la télévision occupe une place de choix dans ses activités. En effet, chaque Québécois regarde en moyenne 25,5 heures de télévision par semaine (B.B.M., 1990-1991) et une part importante de cette écoute se déroule en famille. Ce phénomène a d'ailleurs été mis en évidence par le succès exceptionnel de la série Les filles de Caleb pendant la saison 1990-1991. Cette télésérie sur la vie d'une famille québécoise au début du siècle a été suivie par près d'un québécois sur deux, des plus jeunes aux plus âgés. Elle a donc réuni de nombreuses familles québécoises autour du petit écran (Caron et Daoust, 1991).· L'écoute de la télévision : une occasion de partage ou un facteur d'inhibition des interactions familiales ? Les premières recherches (Maccoby, 1951) ne rapportaient que très peu d'interactions entre les membres de la famille lorsqu'ils regardaient ensemble la télévision. Cela n'a rien d'étonnant puisqu'à cette époque, l'écoute de la télévision était un événement spécial et les téléspectateurs étaient littéralement captivés par le poste. D'ailleurs, on s'est longtemps demandé si le public pouvait être actif devant la télévision (sélectionner les messages qui l'intéressent, interpréter l'information qu'on lui présente, etc.) ou s'il était soumis malgré lui à ses effets. La télévision est aujourd'hui devenue un objet plus commun, plus banal et donc moins captivant. Les recherches rapportent plus d'interactions entre les membres de la famille autour du petit écran (St. Peters, Fitch, Huston, Wright et Eakin, 1989). Cependant, les nouvelles technologies qui octroient un plus grand contrôle au téléspectateur réactivent aujourd'hui le débat sur le comportement actif-passif de l'auditoire : les télécommandes, le magnétoscope et les plus récentes technologies telles que la télévision interactive modifient en effet les relations du téléspectateur avec le petit écran. On constate également que, contrairement à autrefois, les familles se consacrent à de nombreuses autres activités en regardant la télévision.· On retrouve tout de même encore aujourd'hui deux tendances principales dans la recherche sur la télévision et la famille (National institute of mental health, 1982). Certains chercheurs affirment que la télévision bloque la communication entre les membres de la famille : l'attention accordée au petit écran ne peut pas être consacrée à une autre personne. De plus, ils avancent que l'écoute de la télévision en commun nuit à l'unité familiale parce qu'elle crée l'illusion que les familles passent du temps ensemble. En fait, l'écoute en commun ne serait qu'une consommation individuelle de contenus télévisuels en présence d'autres personnes, sans interaction significative.· D'autres chercheurs croient au contraire que l'écoute de la télévision en famille est une occasion de partage, une façon pour les membres de la famille de participer à une activité commune. Comme nous le verrons plus loin, ils affirment également que l'écoute en commun permet aux parents d'apprendre à leurs enfants à être critiques face à la télévision, de renforcer les éléments éducatifs et les messages positifs et de modérer les effets de la violence ou de la publicité (St. Peters et al., 1989). Pour comprendre les relations des familles avec la télévision, on doit donc examiner le contexte social dans lequel elles évoluent. On doit étudier leur structure (nombre de membres dans la famille, leur âge, etc.), leurs comportements (discipline parentale, modèles de communication, etc.), l'accessibilité des média au foyer (le nombre de postes de télévision, la présence ou non d'un magnétoscope, etc.) les variables socio-culturelles (éducation des parents, statut socio-culturel, etc.) et les activités hors du foyer dans d'autres institutions sociales (L'école, le lieu de travail, etc.). (Wright, St. Peters et Huston, 1990).· 1.3. Structure du rapport· Ce rapport comprend trois parties principales qui font le point sur les connaissances actuelles sur la famille et la télévision. Le premier chapitre décrit le phénomène de l'écoute en famille en examinant comment les familles regardent la télévision. Cette partie rend compte de l'équipement télévisuel dans les foyers, des habitudes d'écoute des membres de la famille, de l'influence du contexte social sur l'écoute et des règlements familiaux par rapport à la télévision.· Avant d'étudier l'influence de la télévision spécifiquement auprès de la famille, il importe d'être conscient des contenus télévisuels auxquels sont exposés parents et enfants et des effets de ces contenus sur un plan général. C'est pourquoi, dans le deuxième chapitre, nous dégageons certaines dimensions importantes de l'imagerie télévisuelle (violence, stéréotypes, publicité, images de la famille) et effectuons un survol de la recherche quant aux effets de ces contenus sur les téléspectateurs. Bien entendu, chacun des thèmes abordés dans cette section pourrait faire l'objet d'une analyse approfondie mais cette synthèse servira principalement à situer la recherche sur la famille et la télévision dans le contexte plus large de l'influence générale des médias.· Une fois ces paramètres établis, la troisième partie traitera des influences réciproques entre la famille et la télévision. Elle se concentrera d'abord sur deux aspects importants de l'influence de la télévision sur les interactions familiales : le choix d'une émission de télévision en famille et la façon dont la télévision affecte les échanges familiaux. Finalement, elle étudiera la façon dont les interactions familiales peuvent contrer ou amplifier l'influence de la télévision et traitera des diverses interactions entre membres d'une même famille par rapport au petit écran.· Enfin, la conclusion offrira des perspectives d'avenir sur la recherche sur la famille et la télévision. Elle examinera quelques nouvelles approches et proposera de nouvelles questions de recherche. La famille est une cellule dans laquelle il est parfois difficile de trouver sa place. Un problème de communication peut vite déboucher sur une « crise ». Mais chaque famille peut trouver ses propres solutions. · Sommaire du dossier· Chaque famille trouve ses propres solutions· Le conflit est parfois positif· Quelques astuces pour détendre l'ambiance familiale Un conflit est vite arrivéVivre ensemble, c'est tous les jours se frotter à d'autres, et pour que chacun trouve sa place, il faut affronter toutes sortes de tensions, qui mettent les nerfs à l'épreuve, y compris dans les familles les plus unies et les plus heureuses. Bien avant la crise d'adolescence, un rien peut justifier l'énervement d'un parent contre un des enfants : l'heure du coucher, une mauvaise tenue à table, le refus d'aller voir sa grand-mère, une insolence… Et tout peut créer des querelles au sein d'une fratrie : une place à table ou sur le canapé, l'« emprunt » d'un jouet auquel l'autre tient, le choix d'une sortie, d'un film, une rivalité scolaire, sportive, affective… Le problème de la communicationCes disputes ne semblent pas bien méchantes. Selon Béatrice Copper-Royer, psychologue clinicienne, « les conflits graves sont ceux qui amènent à une rupture de communication. Les incidents du type : "Range ta chambre !"ou "Prends ton bain !" ne sont que des frottements de la vie quotidienne. » Pour autant, mieux vaut ne pas négliger ces petits conflits, car ils reviennent vite et peuvent pourrir la vie. Aussi, pour désamorcer les tensionsou les apaiser, les familles utilisent des recettes anti-crise que chacune bricole selon sa sensibilité. La réunion de famille s'impose Ainsi, Aline ne s'imaginait pas qu'elle réunirait un jour un conseil de famille avec son mari et leurs quatre enfants pour parler de la télévision ! Crises de larmes, hurlements, ponctuaient chaque choix de programme. « C'est un coup de sang de mon mari qui m'a décidée, explique Aline. Un soir, il a débranché la télé, l'a embarquée à la cave et a jeté la télécommande. Les enfants pleuraient, lui vociférait, et moi, j'ai cru que j'allais prendre la fuite ! » Chaque famille sa solution Aline a attendu le dimanche suivant pour réunir la famille. « Au début, tout le monde boudait, explique-t-elle. J'ai expliqué que nous, les parents, n'avions pas l'intention d'installer une télévision par chambre. Puis j'ai demandé à chaque enfant de dire quel était le programme auquel il tenait le plus. Après un silence, tous parlaient à la fois. Il a fallu donner destemps de parole à chacun, et la discussion est devenue facile. » Aidés par leurs parents, les enfants se sont mis à concéder des choses. Les grands ont rédigé une grille collective. À la fin du conseil de famille, les sourires étaient revenus, et la grille fut affichée sur le frigo. | |
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